RHINO 697P Bedienungsanleitung Seite 94

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vraisemblablement en train de nager sculptés sur
un morceau d’ivoire et le « propulseur Mammouth»
sculpté dans l’empaumure d’un bois de renne, tous
deux issus des fouilles Peccadeau de l’Isle et
conservés au British Muséum, ainsi que le « Cheval
bondissant » exhumé lors des travaux de B. Bétirac
et conservé au Musée des Antiquités nationales de
Saint-Germain-en-Laye.
5. Abri de Fontales
L’abri de Fontalès connu également sous le nom
de « Cuzoul des Blondes » se situe à un kilomètre
en aval de Saint-Antonin-Noble-Val, près de la
départementale 115. Cet abri est exposé au Nord
et s’ouvre au pied d’une falaise calcaire du Bajoci-
en inférieur. Il se trouve à 300 m de l’Aveyron, sur
la rive gauche, qu’il surplombe d’une vingtaine de
mètres.
Le site de Fontalès, a été découvert en 1865 par
V. Brun qui y effectua ses premières recherches.
Il interrompit ces travaux à la suite d’un glisse-
ment de terrain causé par de fortes intempéries.
Selon V. Brun, l’ouverture initiale de la grotte
était de 60 tres mais la construction de la voie
fere Montauban-Lexos, aujourd’hui remplacée
par la départementale, l’aurait réduite à une ving-
taine de tres. L’ouverture donne sur une vaste
terrasse de 50 tres qui descend en pente douce
vers la rivière. L’intérieur est étroit et peu pro-
fond tandis que la voute s’abaisse vers l’ouest. En
1867, E. Trutat signale l’abri de Fontalès lors
d’une étude sur les grottes de la vallée de la Bon-
nette, mais ne la considère pas comme intéres-
sante (Trutat 1867). Bien plus tard, de 1912 à
1914, R. Daniel et R. Niel y reprirent des fouilles
dont les sultats seront publiés dans le bulletin
de la S.P.F. en 1935. Malheureusement entre
temps de nombreux collectionneurs et préhisto-
riens ont bouleversé l’intérieur de la grotte sans
laisser de compte rendu écrit. C’est P. Darasse
qui, en 1936, reprend la fouille de l’abri. Il inter-
rompt ses recherches durant la seconde guerre
mondiale et les reprend de 1949 à 1960.
Les premières données stratigraphiques restent
imprécises. V. Brun a probablement fait ses recher-
ches dans la couche supercielle remaniée. Quant
à R. Daniel, il identie son matériel comme appar-
tenant au Magdalénien supérieur. C’est grâce aux
travaux de P. Darasse que l’on doit la séquence
d’occupation de Fontalès (Darasse et Guffroy
1960). La stratigraphie comprend sous la première
couche de terre végétale un niveau remanié avec
des traces de présence gallo-romaine, néolithique
heute im Musée des Antiquités nationales de Saint-
Germain-en-Laye verwahrt.
5. Abri de Fontalès
Das Abri Fontalès, ebenfalls unter dem Namen «
Cuzoul des Blondes » bekannt, bendet sich einen
Kilometer hinter Saint-Antonin-Noble-Val unweit
der Landstraße D 115 auf der linken Seite des
Aveyron (300 m Distanz zum heutigen Ufer). Das
Abri öffnet sich nach Norden und liegt am Fuß
einer Kalk-Felswand des Bajocien inférieur.
Fontalès wurde 1865 von V. Brun entdeckt und
in der Folge durch ihn untersucht. Er startete sei-
ne Arbeiten im Anschluss an ein Unwetter wel-
ches zu Erdbewegungen geführt hatte. Nach V.
Brun hatte der Abrieingang eine ursprüngliche
Breite von 60 m, doch wurde dieser durch den
Bau der Eisenbahn und später durch den Land-
strenumbau bis auf etwa 20 m reduziert. Das
Abri öffnet sich auf eine etwa 50 m breite Terras-
se die sanft zum Fluss hinunter führt. Das Innere
des Abri ist gerade und wenig tief, nach Westen
hin wird die Abridecke sehr niedrig. Bereits 1867
ndet das Abri im Zuge einer Untersuchung der
Höhlen des Bonnette-Tales Erwähnung, wurde
aber als uninteressant a/jointfilesconvert/289946/bgelegt (Trutat 1867). Viel
später, von 1912 bis 1914, haben R. Daniel und
R. Niel die Ausgrabungen wieder aufgenommen
und publizierten ihre Ergebnisse in dem Bulletin
der Société Préhistorique Française im Jahr 1935.
Unglücklicherweise hatten bis zur Wiederaufnah-
me der Ausgrabungen im Jahr 1936 durch P. Da-
rasse viele Sammler und Kollegen das Innere des
Abri durchwühlt, ohne irgendwelche Notizen da-
rüber zu hinterlassen. P. Darasse musste seine
Aktivitäten nur für die Zeit des Zweiten Welt-
kriegs unterbrechen. Im Jahr 1960 beendete er
die Ausgrabungen in Fontalès.
Die ersten stratigraphischen Aufzeichnungen
sind ungenau. Es sieht so aus, als dass V. Brun nur
in den oberen, umgelagerten Schichten gearbeitet
hat. Nach den Analysen des Fundmaterial durch
R. Daniel, ist dieses dem Magdalénien supérieur
zuzuordnen. Dank der Arbeiten von P. Darasse ist
die gesamte Siedlungsgeschichte von Fontalès um-
fangreich dokumentiert (Darasse und Guffroy
1960). Von zentraler Bedeutung ist eine Schicht
mit Funden des Magdalenién V und VI die vom
Vorplatz zum Innern des Abri in ihrer Mächtigkeit
abnimmt (Fig. 6).
Das Inventar der Steinartefakte ist in der Ge-
samtheit aller Ausgrabungen beträchtlich. Die von
P. Darasse dokumentierten Stücke werden im Mu-
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